Certains soirs,
Dans la nuit profonde,
Je pense à toi,
Je marche,
Et je me sens déclic.

Je me sens déclic,
Dans les soirs électriques,
Je me sens agile,
Dans les soirs, et je file.

Je me sens tout bleu,
Dans les soirées de feu,
Je me sens de strass,
Dans ces nuits de l’espace.

Je me sens déclic,
Dans les soirs électriques,
Je me sens agile,
Dans les soirs, et je file.

Je me sens tout bleu,
Dans les soirées de feu,
Je me sens de strass,
Dans ces nuits de l’espace.

Je me sens danser,
J’oublie tout ça,
Je me sens marcher,
Quand je te vois.

Je me sens voler,
J’oublie tout ça,
Je me sens d’acier,
Quand tu es là.

Je me sens bizarre,
Dans les matins brouillard,
Je me sens perdu,
Dans les jours ambigus.

Je me sens fébrile,
Dans les rues de la ville,
Je me sens fragile,
Dans le bruit des babils.

Je me sens danser,
J’oublie tout ça,
Je me sens marcher,
Quand je te vois.

Je me sens voler,
J’oublie tout ça,
Je me sens d’acier,
Quand tu es là.

Certains soirs sont comme des matins défaits,
De quelque chose que j’aimais.

Et dans la lumière noire,
Je ne vois plus que des rayons de toi,
Dans la brume des journées,
Oubliées, éloignées, désirées, abolies, suppliées, divulguées, disparues.

Et dans ces soirs brûlés,
Et dans ces nuits qui dévoilent le spectacle de nos coeurs heureux,
Et dans ces matins d’argent où passent les nuages de quelque chose de
nous,
Je dois le dire,
Parfois,
Je me sens déclic.

Je me sens déclic,
Je me sens déclic,
Je me sens déclic,
Je me sens déclic.

Je me sens danser,
J’oublie tout ça,
Je me sens marcher,
Quand je te vois.

Je me sens voler,
J’oublie tout ça,
Je me sens d’acier,
Quand tu es là.

Certains soirs,
Dans la nuit profonde,
Je pense à toi,
Je marche,
Je marche,
Je vais là où me guident les secondes,
Et pour la première fois,
Et pour toutes les fois,
Et pour la dernière fois aussi,
Quelques fois,
Je me sens déclic.

Je me sens danser
J’oublie tout ça
Je me sens marcher
Quand je te vois
Je me sens voler
Je me sens d’acier...